Ah! On les aime, on les trouve beaux, intelligents, on les trouve donc cute quand ils nous lâchent des déclarations intempestives à 100 piastres, on voudrait les garder petits tout le temps... mais maudit que des fois on a hâte qu’ils grandissent : à 18 ans, DEwors!
Ben non, je n’attends pas le moment de les voir partir en me pourléchant les babines et en me fendant la face d’avance! Sauf que...
Quand ils sont revenus de l’école, tout était en ordre, bien rangé. Le salon était agréable, les fauteuils dégagés, à part les chats, bien entendu, et les planchers étaient exempts de toute chose ne s’apparentant pas à des pattes de meuble. Et là, bien entendu, ils sont revenus de l’école, il faut bien. La semaine dernière, et en fin de semaine, ils m’ont épatée : ils se sont ramassés, ils ont accepté mes demandes ménagères sans rechigner. Bref, c’était parfait.
Mais ce soir... Malgré mes encouragements, ils ont complètement passé outre. Et dans le salon, et... dans la chambre de ma fille! C’est dur.
Avant, ça ne m’aurait pas fait grand’chose. C’était tellement bordélique dans la maison que je n’aurais probablement pas remarqué qu’il y avait un tas de papiers au sol, que mon fils avait remonté huit camions du sous-sol et que ma fille avait entrepris pas, un, pas deux, mais trois projets de tricotin distincts. Sauf que quand il n’y a rien qui traine, on voit vite quand quelque chose traine. Bon, ça n’a pas de sens ce que je dis, sémantiquement parlant, mais vous me suivez, j’en suis certaine.
Je viens de trouver le premier inconvénient à une maison à l’ordre : on remarque le désordre!
J’ai donc ramassé. Il est près de 22h, je termine ce blogue, et hop! évier, sortage de vêtements, une bonne douche chaude, et dodo.
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