Eh! oui! C’était ma mission du jour. C’était presque un soulagement que d’aller désencombrer cinq minutes dans la salle de jeux - qui est finie, f-i-fi, n-i-ni, e pour le féminin, finie. Tout est à sa place (beaucoup à la Guignolée, il va y avoir des enfants contents cette année), il resterait bien sûr au moins à mettre du gypse et du plâtre sur les murs, et de la peinture, et un plancher... Sauf que la pièce est dégagée, et les enfants ont le gout d’y jouer. C’est quand même extraordinaire, quand on regarde de quoi ça avait l’air il n’y a même pas deux semaines.
Mon père, à qui je racontais mon épopée avec la demoiselle Mouche et qui n’en reviendrait pas s’il venait faire un tour à la maison, et à qui j’ai suggéré la lecture de ce blogue (s’il me lit : « Allo, papa! » m’a fait part de son approche à l’égard de la chose ménagère. Je lui ai parlé de mon blogue et je ne sais pas s’il a fini par s’y rendre (si oui, allo papa!), mais ses propos m’ont semblé assez intéressants et pertinents à notre propos. Voici.
« La méthode est simple. L’idée, c’est de toujours se retourner sur ce que tu viens de faire. Tu te lèves le matin, tu te retournes... tu fais ton lit. Tu manges ton repas, tu te retournes... tu ranges ta vaisselle. »J’aime le principe. Si on extrapole, ça correspond à chaque élément de mes routines, de l’évier au lavevaisselle, en passant par le lavage, l’habillage, les vêtements du lendemain et, bien entendu, les toilettes et le bidet.
Par contre, on ne peut l’appliquer tout à fait aux tâches plus détaillées, plus poussées (et plus dégueulasses), comme celle qui consiste à asperger de produit, à frotter et à essuyer tout le pourtour d’une toilette (pas l’intérieur - je récure ces affaires-là depuis quoi, deux semaines maintenant? faut pas pousser!).
Cela dit, la Zone 3 ne revient qu’une fois par mois, j’imagine que je ne referai pas ça avant quelques semaines... Croisons-nous les doigts, ou travaillons fort psychologiquement pour convaincre le fiancé d’en assumer la charge!
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