Je fais vraiment acte d’humilité en publiant cette photo à mon vaste public. Il ne faut pas avoir trop trop de fierté, comme dirait ma mère...
Voyez-vous, par pudeur, je ne voulais pas publier de photos de ma chambre à coucher. Il ne se passe rien dedans quand personne ne s’y trouve, mais je me gardais une petite gêne. Mais de cinq minutes en cinq minutes, j’ai fini par dégager complètement les tablettes surchargées de livres, de pièces de monnaie, de bouchons pour les oreilles, de boites de disque vides, de lacets, de vis et de papier de soie (vraiment, je ne plaisante pas). Mais en dégageant celle du haut, j’ai soulevé une telle nuée de poussières volantes que je m’en suis mise à tousser!
Il faut croire que je n’étais pas passée par là depuis longtemps - et les femmes de ménage non plus, d’ailleurs. Mais qui pourrait les blâmer? La tablette était jonchée de ce qui s’est avéré, dans la grande majorité, être des débris et des rebuts. Pour arriver à l’épousseter, il aurait d’abord fallu tout retirer, et ça, les femmes de ménage, avec raison, ne font pas ça. Tu veux qu’on nettoie, ben ramasse-toi!
Vous voyez sur la photo, toutes les stries blanches? C’est la poussière qui s’est incrustée dans les rainures du bois. C’est si épais que non seulement je peux y inscrire votre numéro de téléphone, mais si je frotte, ça va sonner chez vous! Dé-gueu-las-se. J’ai été obligée de mettre tous mes vêtements au lavage: c’était comme de la suie noire.
Au moins, maintenant que c’est dégagé, je vais pouvoir frotter... Yuk.
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