mercredi 8 février 2012

Jour 90 - L’habitude du mois de Mlle Mouche

Février est arrivé et il est temps de développer une nouvelle habitude. Ce mois-ci, nous allons nous exercer à désencombrer 15 minutes par jour. Avec moins de pièces encombrées, il est plus facile de garder notre logis propre et organisé – ce qui veut dire qu’on a plus de temps pour s’amuser!
La demoiselle Mouche [Traduction libre]

Ça y est. Je frappe le mur. Au quatre-vingt-dixième jour, je me sens essoufflée. Ma maison est encore à l’ordre, le haut est encore organisé, je fais (presque) toutes mes missions, et j’exécute mes routines assidument (quoique pas parfaitement). Mais, pour être honnête envers vous et envers moi-même, le désencombrement quotidien, je l’ai plutôt mis de côté.

J’ai fait le tour de presque toute la maison, ramassant, déplaçant, jetant, recyclant, déchiquetant, donnant tellement de choses que j’ai encore du recyclage en retard et que je n’ose plus ouvrir mon garage tellement il y a des choses à aller porter aux organismes de bienfaisance... Oui, je sais, j’étais supposée tout mettre ça dans ma voiture et aller tout porter au fur et à mesure.

Ben savez-vous quoi? Je me suis tannée. Quand ça fait six fois en deux semaines que tu vas à l’Armée du Salut, il me semble que ça va faire!

Je n’avais pas encore vu l’habitude du mois. Le mois dernier, c’était bébé-fafa: garder mon évier propre. Ça fait maintenant 90 jours que mon évier est propre tout le temps, alors je me riais un peu de la demoiselle... Je me la suis coulée douce, comme dirait l’autre. Mais la v’là-t-y pas qui rapplique! Je suis dans un dilemme. Soit je prends l’habitude du mois et je remplis de nouveau mes poubelles, mes bacs à recyclage et les cloches de vêtements pour les démunis, soit je lui fais un gros doigt d’honneur et je passe mon tour.

Il est très tentant de laisser tomber et de m’en remettre à mon plan, qui était de finir mon désencombrement au printemps, quand les poubelles vont recommencer à passer une fois la semaine. Mais en même temps... en même temps, je me dis que ce serait bien d’arriver en mars et d’avoir tout mon sous-sol prêt pour les travaux, délivré de toutes les cochonneries qui y trônent encore. Notre sous-sol n’est pas fini, et ce qui nous empêche d’avancer, c’est... l’encombrement.

C’est décidé. Je repars. Et je commence tu-suite à part ça.

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