jeudi 24 mai 2012

De la raison des zones

S’il y en a qui se questionnent encore sur la nécessité, voire l’utilité des zones, j’ai la réponse.

Chaque printemps, certaines d’entre vous se lancent dans un grand ménage. Personnellement, cette année, ça va être short’n sweet. En effet, comme depuis janvier je suis la FlyLady, et malgré une pause involontaire et tout à fait explicable, ma maison est drôlement à l’ordre. Je dirais même que je n’ai pas de ménage de printemps à faire, si ce n’est que de ressortir les vêtements d’été et... laver les fenêtres! Alors là, ça craint. 

Mon fiancé, samedi, a poussé un long soupir: «Faut laver les fenêtres...» L’an dernier, je n’aurais pas dit un mot et je l’aurais laissé s’échiner toute la journée. Mais cette année, j’ai répondu spontanément: «Laisse faire ça. Je vais les faire par zone. Dans cinq semaines à peu près, elles vont toutes être faites.» C’est là, dans la spontanéité de ma réponse, que ça m’a frappé. Je sais que pour certaines, laver ses fenêtres sur 5 semaines, c’est trop long. Mais... on jase, là... Ça fait combien de temps qu’elles sont sales, vos fenêtres? C’est quand, la dernière fois que vous les avez lavées? Ah, oui? Ben d’abord, qu’est-ce que quelques semaines de plus vont changer?

Voyez-vous, question fenêtres, deux options s’offrent à vous:
  1. Vous les lavez toutes d’un coup, vous faites juste ça pendant la journée, vous prenez du retard sur vos autres tâches et vous êtes trop crevée pour faire quoi que ce soit d’autre pour les prochaines 48 heures;
  2. Vous les lavez petit à petit, en suivant votre routine habituelle, et vous ne vous en rendez même pas compte, à part le fait que vous voyez mieux dehors!
Ça revient exactement au même que les propos de la FlyLady de l’autre jour, mais avec la notion de zone, en plus. Et il n’y a pas à craindre, chaque pièce finira par avoir son tour. Par exemple, la semaine dernière j’ai lavé les fenêtres du bureau. Je n’ai pas fait celle de la salle de bains, l’idée m’étant venue sur le tard (de toute façon, la salle de bains va bientôt revenir en zone). Cette semaine, je fais celles des chambres. J’ai fait celle de la chambre des maitres aujourd’hui, demain je ferai celle de fillette et samedi celle de fiston. Et la semaine prochaine... Vous me suivez? N’importe comment, je finirai par finir. Je n’aurai pas trop souffert, et le fiancé va être soulagé de n’avoir pas eu à le faire.

lundi 21 mai 2012

Décalage horaire

Ça fait deux fois que ça m’arrive cette semaine. Le soir venu, je mets mes vêtements dans la machine à laver, je la programme pour que mon lavage soit prêt à sécher à mon réveil ou à peu près, et je vais au lit. Le lendemain matin, après un premier café, je descends au sous-sol pour mettre le linge dans la sécheuse, et que vois-je? Un stupide code d’erreur,* et la machine à laver qui ne s’est jamais mise en marche. Le seul détail, plutôt inquiétant, c’est qu’elle a quand même mangé le savon.

Zut. Et rezut. Je remets donc du savon et je repars la machine à laver. Rien de plus simple, et y a pas de quoi en faire un billet. Moui, y a de quoi en faire un billet. C’est que ça fait un décalage dans ma journée. Aujourd’hui, c’est congé, alors les conséquences sont moins désastreuses. Mais quand ça arrive un jour de semaine école-boulot, je me retrouve à mettre le linge à la sécheuse sur l’heure du midi, alors que normalement, sur l’heure du midi, je le sors de la sécheuse pour le ranger. S’ensuit un décalage horaire de plusieurs heures, et lorsque le linge est prêt, je suis occupée à autre chose. Mes journées étant bien (trop) remplies, je me retrouve en train de plier du linge quand les enfants sont couchés, ce qui signifie donc que je range ce qui leur appartient le lendemain seulement, puisqu’ils dorment et qu’il est hors de question de risquer de les réveiller en entrant dans leur chambre.

Je suis frustrée. Cependant, le bon côté de la chose, je suppose, c’est que ça veut peut-être dire que je commence à avoir mes routines dans le corps. J’imagine que ça veut aussi dire que je dois faire attention à ne pas devenir trop rigide!




*Quelques googlages m’ont permis de découvrir que le code d’erreur (F70) est causé par un mauvais contact entre le circuit électronique du panneau de commande et la machine. Solutions envisageables: appeler un réparateur ou demander au fiancé, qui est doué pour ce genre de choses, de jeter un coup d’œil. Cesser de me servir de la programmation n’est pas une solution.

(hier soir, j'ai visionné en direct le bastonnage d’un passant, âgé d’une cinquantaine d’années, qui ne faisait qu’observer une manifestation en cours)

dimanche 20 mai 2012

Parenthèses

Je viens d’un pays où la liberté d’expression existe principalement pour les amis du pouvoir. Dans mon pays, les manifestations spontanées sont interdites. Si l’on souhaite se déployer à plus de cinquantes personnes dans la rue, il faut demander l’autorisation des forces de l’ordre huit heures à l’avance. Le gouvernement s’arroge le droit de suspendre l’application de certaines portions de la loi, à son entère discrétion. La vie dans notre métropole n’est pas sans risque. Les forces policières peuvent impunément investir un débit de boisson, gazer les personnes qui s’y trouvent et les arrêter sans leur lire leurs droits ni leur donner le motif de leur arrestation. Le gouvernement de mon pays est soupçonné de frayer avec des membres de la mafia, de recevoir des pots-de-vin et de favoriser ses amis. Il règne dans mon pays un relent de corruption qui fait en sorte que la confiance dans le système est presque inexistante. Les médias sont contrôlés par de grands conglomérats et il est difficile de se faire une idée claire de ce qui se passe vraiment. Et la propagande est telle que le citoyen moyen se trouve, bien malgré lui, à appuyer une dictature qui affirme ne pas en être une.

Dans un pays comme le mien, un blogue comme celui-ci m’apparait depuis quelques jours d’un superflu presque intolérable. Comment, en effet, puis-je écrire sur de telles mondanités que sont les corvées ménagères alors que dehors, dans la rue, on assiste à de tels évènements? Que l’on soit d’accord ou non avec la cause des manifestants, comment peut-on continuer de parler savon et frotti-frotta quand des policiers chargent les foules sans avertissement, mais surtout, sans raison? Quand une journaliste est projetée au sol par des policiers, qui l’ont aggripée par les cheveux pour l’empêcher de filmer? Comment, après cela, raconter que l’on a oublié son lavage dans la sécheuse ce matin, comme si cela avait la moindre importance? Et surtout, pourquoi?

Parce qu’il le faut. Parce que c’est en maintenant la normalité du quotidien pendant l’anormalité de l’époque que nous pourrons revenir à une vie normale. Parce qu’il ne faut pas s’arrêter de vivre, mais vivre encore plus intensément, il faut continuer de faire comme avant. Pas pour s’endormir, mais pour se prouver qu’on est encore des femmes de cœur, qu’on cherche encore lapaix intérieure, qu’on peut encore rire, de soi, des évènements. Pour prouver qu’on n’a pas peur. Que la peur ne nous paralysera pas. Parce qu’il faut rire, qu’il faut faire le plein de bonheur, tant que l’on peut. Parce que si on sait ce que c’est ce que c’est de vivre dans une société où jadis régnait la liberté, on sera mieux équipées pour reprendre ce qu’on nous a enlevé si brutalement.

Je vais donc poursuivre ce blogue, même si j’ai la plupart du temps la larme à l’œil, même si le monde dans lequel je vis n’est plus celui dans lequel je veux voir grandir mes enfants. Je vais poursuivre, pour ma santé mentale. Pour rester ancrée. Pour me convaincre que la vie peut redevenir normale, pour ne pas perdre les pédales... Ni l’espoir.

Et je militerai et je lutterai plus que jamais pour qu’on me rende mes libertés, celles qui devraient exister dans un pays démocratique.

Je ferai du ménage dans ma maison, en guettant l’occasion d’en faire au politique.


L'habitude du mois : bouger!


J’avais oublié un des plaisirs d’avec FlyLady, une fois qu’on a terminé les pas de bébé. Il arrive parfois, et je dirais assez souvent, que l’habitude sur laquelle elle choisit de mettre l’accent pendant tout un mois en soit une que j’ai déjà acquise. En janvier, c’était l’évier. En février, si je me souviens bien , mais à ce moment j’essayais de me sevrer de FlyLady (avec les résultats que l’on sait), c’était faire son lit. Je sais qu’il y a eu, en avril, le désencombrement pendant 15 minutes par jour, mais je n’y suis pas arrivée.

Mais en mai, et peut-être cela a-t-il contribué à ce que je renaisse de ma poussière, l’habitude du mois, c’est «15 minutes of loving monements», ou, en français, 15 minutes de mouvements amoureux, ou, littéralement, 15 minutes d’exercice.

Et sur mon visage de se dessiner un petit sourire de supériorité: c’est que je fais au minimum 30 minutes de jogging par jour, moi! Ah, la grosse tête que je me suis faite! Mais qu’il faut bien rendre à Cléopâtre ce qui lui appartient, non? Cela dit, il reste que j’ai réalisé cette semaine que je ne fais pas de l’exercice TOUS les jours. Il y a les cinq jours de la semaine, où je vais reconduire fiston en poussette-remorque à l’école, mais il y a aussi ces jours de fin de semaine, ou les jours où il va à l’école avec les petits voisins, où je ne fais absolument rien. Je pourrais toujours cumuler les minutes et les répartir sur la semaine, mais ça irait à l’encontre de l’esprit de la chose. 

Mais alors, serait-ce que je n’ai pas pris l’habitude du mois? Tout à fait. J’ai donc pris pour résolution de remédier à la situation. Ce ne devrait pas être si difficile, après tout: 15 minutes, c’est deux fois 7 minutes et demie. Et puisque mes jambes sont assez bien entraînées merci, je vais m’attaquer, pendant ces 15 minutes, à mes bras.

Mes débuts à l’exercice se sont faits, naguère, avec l’aide de la Wii. Depuis que je cours, j’ai délaissé l’appareil, même par temps glacial: j’aime trop courir dehors à présent pour le faire sur place dans mon salon. Par contre, je trouve l’outil tout à fait approprié pour tonifier le haut de mon corps.

Remarquez, aujourd’hui le thermomètre indique 30 degrés centigrades, et la piscine 86 degrés Fahrenheit... Je vais bouger amoureusement dans la piscine!

jeudi 17 mai 2012

Gung ho?

Parmi mes «tâches» se trouvent celle consistant à lire un article de la demoiselle Mouche (que j’appèlerai désormais FlyLady, histoire de me faire voir un peu plus dans Google). Ça peut sembler idiot, mais ça me force chaque matin, depuis lundi, à me rappeler que je dois la suivre, sinon je vais retomber. Et ce matin, ses réflexions matinales, trouvées dans sa page Facebook sont tombées en plein dans le mille. Ça me décrit tellement, ça fait peur. Je vous en offre une traduction libertine...

Certaines d’entre vous ont incroyablement bien reussi en quelques jours, et je m'inquiète pour vous, à cause de cette mentalité Gung ho. Nous sommes toutes déjà passées par là et c’est la raison pour laquelle les membres de notre famille lèvent les yeux au ciel devant votre nouveau trip FlyLady.
(Ça vous rappelle pas quelqu’une? Tout à fait. Et si je poursuis ma lecture, je me reconnais encore plus. Permettez que je poursuive ma traduction... Pas de tout, mais tant qu’à essayer de reformuler ses propos pour les rendre plus intéressants et ne pas y arriver sans craindre de radoter...)
Apprenez à utiliser votre minuterie dans presque toutes les situations. Ça vous laisse le sentiment du devoir accompli, tout en vous donnant la permission de ne pas trop en faire et vous bruler.
(remarquez, toutes les situations est peut-être exagéré... Juste en traduisant, j’ai éclatédire rire en m’imaginant dire à mon chéri: «Oh! Faut arrêter là, t’as fait ton 15 minutes!») 
Si vous vous prenez à réinitialiser la minuterie à la fin des 15 minutes, ARRÊTEZ ÇA! C’est votre perfectionnisme qui veut que vous suiviez la méthode FlyLady en mettant des points sur les i... tout en demeurant prisonnière de votre perfection pour continuer jusqu’à ce que ce soit fini. 
(suis-je la seule à visualiser ces conseils dans un tout autre contexte?)
Exercez-vous à abandonner! Vous y reviendrez.
La raison pour laquelle vous allez y revenir, c’est parce que vous ne vous êtes pas brulée. Quand on a laissé notre salle de bains aller jusqu’à ce qu’on n’en peut plus, on se lance et on passe 3 heures à nettoyer. Quand on a enfin fini, on ne veut plus nettoyer une autre salle de bain avant longtemps. Alors... On ne nettoie plus de salle de bains avant longtemps! Et ça continue comme ça jusqu’à ce que la salle de bains est complètement dégueulasse et que vous ne laisseriez pas votre mère y entrer... Vrai?

Sages paroles... Surtout que ma mere nous rendait visite aujourd’hui!

mercredi 16 mai 2012

D’étoiles et de satisfaction

Je viens tout juste de découvrir un petit détail mignon dans l’application HomeRoutines, dont j’ai déjà fait l’évaluation et que j’utilisé, avec plus ou moins de constance, depuis. Mais en ce qui concerne ma mignonnerie, objet de ce billet, j’en suis à me demander comment il se fait que je ne l’avais jamais remarqué auparavant.

Voyez-vous, HomeRoutines permet de diviser les tâches à accomplir en catégories qui, dans mon cas, sont soit des moment de la journée ou, dans le cas du lundi et du jeudi, un mot clé (laitier, paperasse, par exemple). Aujourd’hui, rien de tel: mes mercredis sont calmes comme un long fleuve tranquille, sous réserve toutefois de deux petits monstres exigeants à souhait qui ne nous lâchent pas d’une semelle, mais je digresse encore.

Nous disions donc que mes mercredis se déclinent en quatre catégories seulement: Matin, Pendant la journée, Après l’école et, pour finir, Soirée. Jusqu’à ce jour, je croyais qu’il ne s’agissait que de me guider dans la chronologie approximative de mes tâches. Eh! bien! il y a de ça, oui, mais il y a plus. Celles qui se rappellent à quel point j’aimais le Tchac! de Cozi sauront faire le parallèle. Car figurez-vous, et c’est là son seul défaut (à part la fait qu’il manque une version française, mais j’ai déjà communiqué avec la développeuse et on va plancher là-dessus), il n’y a pas le plus petit Tchac! dans HomeRoutines.

Sauf que je viens de découvrir que la catégorisation est également porteuse de motivation. Imaginez-vous donc que j’ai découvert que lorsque l’on a accompli toutes les tâches d’une catégorie, la petite étoile vis-à-vis se REMPLIT. Non mais, comme dirait ma fille qui se prend pour une ado alors qu’elle a encore de la misère à régner une assiette dans le lave-vaisselle (quoi, ça aussi c’est un comportement d’ado?), comme le dirait-elle, donc, avouez que c’est génial pas à peu près!

...

Non? J’entends déjà mon fiancé: «Quoi? T’as fait un texte complet sur tes étoiles pleines pis à moitié pleines?»

Euh... oui. Ça fait peur.

Mais avouez que c’est génial quand même!

mardi 15 mai 2012

Jour 2 (Born-Again Flybaby)

Pari gagné! Bon, d’accord, vous n’aviez rien parié avec moi et la gageure était en fait avec mon moi-même, et encore, je n’avais pas misé une très grosse somme...

N’empêche. Aujourd’hui, je suis parvenue à accomplir presque toutes mes tâches et, au moment où j’écris ces lignes, mon évier est propre et il ne me reste plus qu’à sortir mes vêtements pour demain.

Ça fait du bien de se remettre dedans, comme qui dirait. Et de revenir à quelque chose d’aussi peu imaginatif que la demoiselle Mouche, c’est rassurant. Même ses nombreuses fautes d’orthographe me rassurent, c’est vous dire à quel point je me sentais désemparée!

Je crois que c’est un certain retour à la routine. Qui me fait cet effet. J’étais parvenue à de grande choses en peu de temps avec la demoiselle Mouche, et j’ai eu envie de voler de mes propres ailes... Il faut croire que je ne suis pas encore assez mature pour le faire... Je la trouve drôlement condescendante quand elle nous appelle ses «bébés mouches», mais j’ai bien peur de mériter le titre!

Je vous laisse, mon heure de coucher approche (je serai même parvenue à respecter ça, je m’impressionne-tu, vous pensez?) et il me reste une ou deux petites choses à faire avant le dodo. Notamment: poursuivre la lecture d’une autre nouvelle de Stephen King (mon dada du moment).

Mise à jour: il n’y a que deux étoiles non côchées dans mon HomeRoutines: dans la journée, Désencombrer 15 minutes et en soirée, Prendre mes vitamines. (Mais j’ai pris celles du matin, et là, je suis au lit... Trop tard.)


PS: Je rédige actuellement ce billet sur une tablette dans une application qui ne semble pas dotée d’un correcteur français. Alors, un peu d’indulgence, je vous en prie!

lundi 14 mai 2012

Je rentre au bercail


Tut! Tut! Tut! semble-t-elle me dire...
J’aurai bien essayé, mon orgueil m’a tenue et m’a laissée m'enfoncer. Je laisse tomber mes zones, mes missions, et je reprends celles de la demoiselle Mouche. J’ai besoin d’une coach, si vous me permettez l’anglicisme. Je suis très autodisciplinée en général. À preuve, je suis travailleuse autonome, de la maison, et je ne remets (presque) jamais mes travaux en retard. Mais côté ménage... j’ai de la difficulté à garder le cap.

Je recommence donc ce blogue, tous les jours, aussi plate puisse-t-il devenir, et je lirai la demoiselle Mouche et je la suivrai. Oui, elle va me taper sur les nerfs. Moi, les grosses tapes dans le dos virtuelles, le sentimentalisme devant un évier brillant, ça me lève un peu le cœur. Sauf que depuis que j’ai laissé tomber ma marâtre, je me néglige. Alors, mea culpa, j’aurais dû croire plus fort, je reviens dans la secte mauve.

Et tant pis si les zones ne sont pas parfaitement accordées au diapason de ma maison. Après tout, elle a une pièce supplémentaire de temps en temps, alors je m’adapterai.

Je suis donc cette semaine dans la Zone 3 : Salle de bains (qui inclut la salle d’eau, si petite qu’elle ne donnerait même pas son demi à un trois et demi) et une autre pièce. Cette autre pièce, cette semaine, ce sera mon bureau. Un peu de classement et de nettoyage ne peuvent pas lui faire de tort.

Et je suis également au jour de la bénédiction, en principe. Je préfère la faire le dimanche, sauf que je ne la fais PAS le dimanche. Alors aussi bien la faire aujourd’hui!