Déprimant, n’est-ce pas? Et quand on s’approche, c’est pire. J’ai donc choisi de secourir la surface de mon bureau. Après tout, j’y passe le plus clair de mes journées... et j’avoue, oui, je l’avoue, que ça commençait à me taper sur les nerfs, toutes ces traineries. Au début, ça va... On met un tric ici, en se disant qu’on va s’en occuper plus tard. Et on en rajoute un par-dessus. Et un autre, juste à côté... Vous connaissez la chanson.
Côté cour |
Côté jardin |
Mon poste de travail |
Je ne savais pas combien de temps il me restait, alors j’ai pris une photo rapide de ce qui se trouve... à côté du bureau. Aïe.
Là, ça devient plus compliqué, parce qu’il y a plein de papiers mêlés: ceux à jeter sont avec ceux à conserver, qui sont avec ceux à déchiqueter. Pour d’autres, je n’en ai aucune idée.
Bien entendu, je n’ai pas terminé cette section de la pièce avant la cloche, mais j’étais bien partie. J’ai même dû me parler pour arrêter - je crois avoir pris quelque 90 secondes supplémentaires.
Un autre quinze minutes dans le bureau demain. Je vais finir par y arriver.
Donc, si je résume, j’en suis là:
Le matin
- M'habiller de pied en cap, m'arranger la face et les cheveux (même maquillée, aujourd’hui!)
- Consulter mon agenda (la demoiselle Mouche pense que je consulte encore des post-it...)
- Lire des messages dans la grande tente (j’ai lu dans le site de la demoiselle Mouche - en fait, l’ajout à mes tâches aujourd’hui était de songer à créer un agenda et, pour ce faire, aller lire un texte... et comme je tiens déjà mon agenda à jour, cette habitude va être facile à intégrer)
- Reconnaître les méchantes petites voix et leur répondre (pis aujourd’hui, elles étaient légion!)
- Dégager un point chaud pendant deux minutes (pas besoin, nananère!)
- Cinq minutes à la rescousse d'une pièce (j’ai fait la salle d’eau!)
- 15 minutes de désencombrement (j’ai dégagé une partie du bureau)
Il va me rester...
Avant le dodo
- Faire briller mon évier avant d’aller au lit
- Sortir mes vêtements pour demain
Ça s’en vient de plus en plus facile, on dirait! Non, menteuse. Ce matin c’était pas facile du tout. Sauf que ça fait deux semaines! Et je suis toujours là, à vous faire visiter ma maison avant-après, au fil des jours... Ah! les amies (ici, rien contre les hommes, mais mon lectorat étant composé principalement de femmes, dans mes textes le féminin l’emporte sur le masculin - vous allez voir, on s’habitue à l’exclusion qui nous inclut). Je disais... Ah! les amies, vos commentaires dans Facebook et ici dans mon blogue m’encouragent.
Sans blague.
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